« Plus nous nous élevons et plus nous paraissons petits à ceux qui ne savent pas voler. » – Friedrich Nietzsche

En plein coeur des sommets mexicains trône l’Estadio Azteca. Celui-là même qui a vu un certain Pélé remporter la Coupe du monde avec le Brésil en 1970 et un certain Maradona vaincre l’Allemagne de l’ouest pour soulever le trophée 16 ans plus tard. Et hier soir, l’Impact de Montréal y a affronté le puissant Club América. Résumé poétique d’un glorieux match nul quelque peu oublié de par les séries minatoires de hockey du Canadien de Montréal.

Evan Bush
L’aigle solitaire
De glace face aux lasers
Mais carton absurde

Donny Toia
D’où viens-tu, Toia?
Nous avions besoin de toi
Depuis des années

Laurent Ciman
Sherlock essentiel
Fait presqu’oublier Nesta
Tackles très précis

Bakary Soumaré
Watson de Ciman
Toujours prêt à l’épauler
Mieux qu’à Chicago

Hassoun Camara
Chevalier à droite
Solidifie le couloir
Mais blessure hantée

Callum Mallace
Mon petit Mallace
Que tes ballons sont précis
Vaut le XI partant

Nigel Reo-Coker
Capitaine hier
S’essoufle beaucoup trop vite
Les signes de l’âge

Dilly Duka
Quel écran de fumée!
Pour camoufler Piatti
Effort défensif

Ignacio Piatti
Oh très cher Piatti
Artiste sur le terrain
J’ai les larmes aux yeux

Andrés Romero
Moins fort qu’à Aju
Les pieds pris dans le tapis
Une faute grave

Dominic Oduro
Court toujours très vite
Son meilleur match à l’avant
Il court vraiment vite

Eric Miller
Oh, pauvre Miller
Premier match de la saison
Semblait très nerveux

Maxim Tissot
Né à Gatineau
Marche sur un grand chemin
Celui des géants

Patrice Bernier
Notre capitaine
A fait un tackle très laid
Il va se reprendre

Frank Klopas
Le coach mal-aimé
À 90 minutes
D’un exploit tactique

L’arbitre, Rodriguez
Rouge n’est pas jaune
Est certainement daltonien
Jaune n’est pas rouge

L’Impact de Montréal
Tu me fais rêver
Petit garçon dans mon coeur
Ta ville est très fière

John Smits
Portier d’Edmonton
Tu seras notre sauveur
Mercredi prochain



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