Le guide des Johnny - Balle Courbe

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14 janvier 2015

Le guide des Johnny

Par Balle Courbe

Inspiré par le turbulent Johnny Manziel, la recrue des Flames Johnny Gaudreau a décidé de réserver le surnom « Johnny Hockey » auprès du bureau des copyrights canadiens.

Manœuvre audacieuse ou coup de marketing brillant pour un jeune joueur encore méconnu?

Seul le temps nous le dira. D’ici là, nous y allons de nos suggestions pour d’autres sports et, surtout, d’autres Johnny.

Le défricheur des Johnny – le seul et l’unique Johnny Manziel. On doit rendre à César ce qui lui appartient, sans lui cette liste n’existerait pas.
Merci Johnny, on t’en doit une.

Après avoir été surnommé « Johnny le traître » ou « Johnny le vendu » par les partisans des Red Sox lors de son départ chez l’ennemi à New York, Johnny Damon peut maintenant revendiquer le droit de porter le surnom de Johnny Baseball.

On pourrait croire à un nom d’initiation pour un gang de rue bon marché, mais ça sonne quand même bien pour la légende du poker Johnny Chan. Au bout d’une grosse chaîne en or, un pendentif « Johnny Poker » fait un bel ouvrage d’intimidation aux tables.

Appelons un chat un chat – sans tomber dans les mêmes écarts qu’Alain Goldberg lors des Olympiques de 2010 à Vancouver.
Johnny Weir, en devançant ses critiques, pourrait s’approprier la fantaisie et l’élégance de son sport. Qui sait, ça pourrait aider à la popularité de celui-ci qui, à part le bref intérêt aux quatre ans lors des Olympiques, n’attire pas les foules.

L’idée, c’est de rendre sympathiques les combattants en arts martiaux mixtes.
Comme «Johny Chaton » ou « Johny Poupon » pouvait porter à confusion, la tape sur le museau reste assez amicale pour ne pas froisser personne et assez représentative du sport pour comprendre qu’ils sont payés pour se faire saigner à blanc dans une cage.
Félicitations, Johny Hendricks, tu porteras fièrement un surnom qui fera l’envie de tous.

Balle Courbe
@ballecourbe

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