Chaque semaine, mononcle Guillaume vous casse les oreilles avec de VRAIES anecdotes historiques inspirées de l’actualité. Mononcle Guillaume est comme un genre de Paul Houde, mais sur l’acide.
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Oui, Phil Kessel est un p’tit crisse. Il n’écoute pas les entraîneurs, il insulte les journalistes et ne prend pas soin de son gras de face. Mais ce n’est pas le premier mauvais garçon à secouer le monde du hockey.
Voici 4 joueurs plus difficiles à diriger que Phil Kessel.
1- Brett Hull : Habitué à remplir le filet n’importe comment avec les Blues, Golden Brett étouffe au sein du système des Stars à la fin des années 90. L’entraîneur Ken Hitchcock met l’emphase sur le positionnement et répète aux joueurs que “ce n’est pas important de compter des buts”. Hull trouve une façon originale de lui prouver le contraire. Lors d’une descente 2 contre 1 à l’entraînement, il fait exprès… pour lancer dans le coin!
2- Gilles Gratton : gardien des Rangers dans les années 70. Fou notoire, il aime pimenter les pratiques de son équipe en se mettant tout nu sur la glace. Il croit aussi en la réincarnation, et achale tout le monde avec ça. Un soir, Gilles refuse de jouer, incommodé par “une plaie d’épée datant de 500 ans”.
3- Ian Turnbull : défenseur rebelle de Toronto. En 1980, les Leafs sont en pleine léthargie (encore). Ian a la bonne idée de ponctuer un sermon de son entraîneur… en lâchant un gros pet.
4- Gary Smith : Autre gardien des années 70 qui était pas toujours toute là. Surnommé “Suitcase”, car échangé 13 fois! Un soir, lorsque son coach le retire en plein match, Smith sort de l’aréna en trombe et conduit jusque chez lui… en équipement d’gardien! Puis, au party de Noël de 1975, le propriétaire des Canucks Frank Griffiths lui présente sa femme Emily, héritière de l’empire de bouffe à chien “Dr Ballard”. Ce qui amène Gary à déclarer : “Oui. Je peux voir la ressemblance avec la canne”. Peu de temps après, Gary est (encore) échangé.
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