Le soccer en Amérique du Nord n’échappe pas à la tradition des mascottes, ses peluches géantes et vivantes qui sont devenus des emblèmes des clubs. Même si le phénomène est de plus en plus populaire en Europe, concentrons-nous sur la MLS pour analyser en profondeur quelques mascottes du circuit Garber.
Les Félins de la MLS
Je vous confirme qu’il n’y a pas de lions en Floride, quoique la mascotte du Orlando City SC, Kingston, semble nous faire mentir. Surnommé les Lions, le club d’Orlando rend hommage à son ancienne vie en tant que Lions d’Orlando des années 80-90. Les dreadlocks de Kingston sont apparemment un vestige de cette époque.
Leo(nardo) Le Lion, mascotte du Real Salt Lake, ne doit pas être confondu avec Leo Le Lion, la mascotte de MGM. Avec une apparence plus sobre et plus chill que son cousin floridien Kingston, Leonardo n’est pas en voie de disparition comme les mountain lions. Affaire à suivre.
Timber Joey : Sérieux? C’est une mascotte ça?
À chaque fois qu’un joueur des Timbers inscrit un but à la maison, un bucheron surnommé Joey tronçonne une bûche d’un tronc d’arbre dans le stade même. Ce tronçon est ensuite offert au(x) buteur(s) après le match.
Question existentielle: Est-ce qu’un être humain qui ne porte de pas de déguisement peut être considéré comme une mascotte?
Les Rapids du Colorado: 4 Mascottes!
Certains clubs n’ont pas de mascottes, mais nos amis du Colorado ont en quatre. Je pourrais psychanalyser les raisons de leurs existences mais qui a besoin de quatre mascottes?
Quatre!
Mais où est Tak-tik?
L’Impact avait une mascotte en chair et en fourrure synthétique qui s’appelait Tak-Tik. Le jeu de mots est aussi mignon que les câlins chaleureux de ce toutou du ballon rond mais il semble qu’on ne le voit plus au Stade Saputo.
Prix de consolation: une peluche à l’effigie est disponible dans la boutique de l’Impact de Montréal.
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