Mais que se passe-t-il avec nos joueurs de tennis canadiens ? Un seul a réussi à survivre à la première ronde, pour être immédiatement éliminé à la ronde suivante. Il est grand temps de diversifier un peu les méthodes d’entraînement et d’ouvrir nos Canadiens à de nouveaux horizons.
Le jeu de paume
Pourquoi ne pas commencer par revenir aux sources ? Avant l’avènement des raquettes, au 14e siècle, on frappait la balle à mains nues ou avec un gant de cuir. Ça pourrait permettre à nos Canadiens de « retrouver leurs sensations », comme diraient Yvan Ponton et Hélène Pelletier.
Le tennis sur glace
Peut-être que le problème, c’est que nos tennismen ont grandi dans les rigueurs des hivers canadiens. Donc une fois l’été arrivé, ils ont du mal à s’acclimater à la chaleur. Il suffirait de convaincre les dirigeants de l’ATP de tenir un tournoi sur glace pour voir nos Canadiens remonter dans le top 10.
Le tennis à deux raquettes
Peut-être que le problème, c’est que nos joueurs ne rentabilisent pas chaque membre que Dieu leur a donné. Logiquement, deux mains, ça peut tenir deux raquettes. Oui, t’as un peu l’air d’un homard, mais au moins, tu frappes toujours sur ton coup droit.
Le tennis 360o
Peut-être que le problème, c’est que nos Canadiens ne pensent pas assez outside the box. Un court rectangle, c’est limitant. Alors, pourquoi ne pas adopter une vision plus englobante du sport ? Quelques entraînements sur un terrain de 360ball, et vous voilà avec une tout autre perspective du tennis.
Le tennis en cage
Peut-être que le problème c’est plutôt que nos joueurs ne sont pas assez encadrés et qu’ils auraient besoin de plus de balises. Alors, pourquoi ne pas les initier au padel, qui combine le tennis avec le squash. Ils seront reconnaissants de retrouver la liberté des courts normaux après coup.
La raquette à deux poignées
Si toutes ces options ne ramènent pas nos Canadiens sur le chemin de la victoire, on pourrait simplement se rabattre sur un changement d’équipement. Parce que comme le dit le proverbe, « Deux poignées valent mieux que deux tu l’auras. »
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