Vous êtes probablement au courant : chez Balle Courbe, on est fans des histoires de bananes.
Comme la fois où Alexander Radulov (ça fait encore mal d’écrire son nom…) en a mangé une sur le banc des joueurs pendant un match.
C’est pour ça qu’on regarde beaucoup les Internationaux d’Australie cette année. Parce qu’il y a plein d’histoires de bananes. (Ben, deux histoires, mais quand même.)
Prenez Denis Shapovalov, la nouvelle coqueluche du tennis canadien. Le blondinet est devenu un héros national à la dernière Coupe Rogers après avoir battu Rafael Nadal dans un match épique de gauchers.
Shapo avait moins l’air d’un gagnant en début d’Open quand il échoué à éplucher pas une, pas deux, mais bien trois bananes.
Ça ne l’a pas empêché de remporter son match contre Stefanos Tsitsipas en trois sets. Reste que quelqu’un devrait lui apprendre la technique employée par les singes. Ça lui éviterait de revivre cette honte.
Mais Shapovalov n’est étonnamment pas celui qui a eu l’air le plus niaiseux à cause d’une banane. Cette palme revient plutôt à Coco Vandeweghe.
La 10e raquette mondiale s’est empêtrée dans une chicane avec l’arbitre parce qu’elle refusait d’aller sur le court avant d’avoir mangé une banane. Vandeweghe est même allée jusqu’à critiquer les organisateurs du tournoi qui devraient, selon elle, toujours avoir des bananes disponibles pour les joueurs. L’Américaine a d’ailleurs été sanctionnée en raison de son attitude.
CoCo Vandeweghe’s shocking loss at the Australian Open included a violation she received over … bananas? pic.twitter.com/vqUavg3G4i — ESPN (@espn) 15 janvier 2018
Et Vandeweghe ne s’est pas arrêtée là. Elle a reçu une deuxième sanction un peu plus tard après avoir traité son adversaire de « fucking bitch » (il faut lire sur ses lèvres).
Coco Vandeweghe got her second code violation and a point penalty for slamming her racquet and screaming “Oh fuck off you fucking bitch” to Babos at the #AusOpen. pic.twitter.com/xunlDXaCS0
— John Thrasher (@jthrasher) 15 janvier 2018
Mais donnons à Coco le bénéfice du doute. Peut-être qu’elle avait écouté du Philippe Katerine dans le vestiaire avant le match…
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